Lucien Trochet est chargé d’études pluri-médias au sein de Good Buy Media. À travers son interview, il nous explique le fonctionnement de Good Buy Media (GBM), en passant par les relations clients, l’importance du digital dans notre société actuelle, et la diversité des médias.
Quelle est pour toi la définition de Good Buy Media ?
“Je dirai que GBM est un mélange d’ambition, d’innovation et de simplicité. Notre agence a vraiment la volonté de s’imposer comme un acteur majeur de l’univers des médias.
De plus, nous sommes une filiale de MV Group (MVG), où tous les métiers du digital sont représentés. Ainsi, nos clients bénéficient non seulement de notre expertise branding, mais aussi de celle des autres entités du groupe.
Une de nos stratégies est de toujours être à la pointe de l'innovation, tout en restant fidèle à nos valeurs, à notre dimension indépendante. Mais ce qui nous importe le plus, c’est l’humain et la bienveillance, qui restent au cœur de notre identité malgré nos ambitions.”
Comment cette volonté de bienveillance se traduit-elle auprès des clients ?
“Nous sommes une équipe d’experts resserrée et lorsqu’un chargé de projet est attribué à un client, il devient son interlocuteur unique, du début à la fin d’une campagne.
Pour concrétiser cela, je prends l’exemple d’un client qui a eu l’expérience d’une autre agence bien plus dimensionnée, chez qui il avait l’impression d’être un numéro. Il changeait sans cesse d’interlocuteur.
C’est tout l’inverse chez nous. Pour preuve, je suis en charge de ce client sur toute la partie opérationnelle liée à la notoriété depuis mon arrivée il y a 3 ans. J’échange de manière hebdomadaire avec lui. C’est dans ce sens que Good Buy Media garde ses valeurs humaines au cœur de ses opérations.”
Quel est ton rôle au sein de l’agence ?
“Je travaille au sein du pôle expertise de GBM en tant que Expert Médias.
Au quotidien, le chargé d’études pluri-médias est au cœur des échanges entre le directeur clientèle, le client et toutes les autres expertises externes ou internes (notamment le media trading).
J’ai 3 rôles principaux :
- L’accompagnement client, qui se traduit par une réunion de lancement, de la coordination, la mise en place et suivi du projet, et le bilan des campagnes.
- L’expertise, qui réside dans l’accompagnement à la stratégie globale, la veille concurrentielle, et les actus médias.
- Le conseil, qui consiste à la rédaction de plans d’actions et de recommandations stratégiques.
Je peux donc dire que je suis le chef d'orchestre entre toutes ces entités en quelque sorte. Quand une campagne est validée, je la suis de la préparation jusqu’au bilan final.”
Pourquoi appeler cela pluri-médias ? Et quel lien avec le digital ?
“On appelle cela pluri-médias parce qu’il y a plusieurs médias sur lesquels nous travaillons.
On parle de médias offline (ou médias traditionnels) lorsque l’on parle de la télévision, de la radio, de la presse ou encore de l’affichage.
Pour ce qui est des médias online, on y retrouve tous les médias digitaux, comme la vidéo, le display, le programmatique, ou les réseaux sociaux.
Lorsque je parle de digital dans mon métier, je veux dire que l’on comprend le programmatique mais aussi YouTube, la vidéo en ligne, les réseaux sociaux ou le replay TV. Chaque média a ses particularités, ses avantages et inconvénients.
Ainsi, l’objectif est de pouvoir proposer à nos clients le bon mix médias pour répondre à ses enjeux et objectifs.”
Quelles sont les qualités pour être un bon chef de projets pluri-médias selon toi ?
“Nous sommes dans un univers en mouvement perpétuel.
Donc la première qualité à mon sens, est la curiosité (suivi de l’actu médias, des innovations, etc.) pour être en capacité de proposer des choses nouvelles régulièrement à nos clients.
Je dirais ensuite la réactivité et même la proactivité, dans une logique de service client.
Enfin, je dirais la rigueur pour être en capacité de bien suivre chaque dossier client et de pouvoir switcher rapidement d’un sujet à l’autre.”
